mardi 27 avril 2010
mardi 13 avril 2010
Solicolloque
Jour 2
À peu de choses près, je retrouve les mêmes concepts et maîtres à penser que ceux qui avaient cours il y a 25 ans. C'est déroutant. Dérangeante, aussi cette sensation que les femmes doivent être prises avec des pincettes: virulence souterraine purulente dans quelques propos ou réactions de certains hommes présents.
Tout de même, il a été question du corps aujourd'hui.
***
J'ai fait le choix du corps concret, que ce soit par la danse, la maternité ou la massothérapie, au détriment, peut-être, d'une partie de mon esprit. Les tatouages et les scarifications qui, surgissant de l'intérieur, trouvent leur chemin jusqu'à la surface du corps en témoignent eux aussi.
À peu de choses près, je retrouve les mêmes concepts et maîtres à penser que ceux qui avaient cours il y a 25 ans. C'est déroutant. Dérangeante, aussi cette sensation que les femmes doivent être prises avec des pincettes: virulence souterraine purulente dans quelques propos ou réactions de certains hommes présents.
Tout de même, il a été question du corps aujourd'hui.
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J'ai fait le choix du corps concret, que ce soit par la danse, la maternité ou la massothérapie, au détriment, peut-être, d'une partie de mon esprit. Les tatouages et les scarifications qui, surgissant de l'intérieur, trouvent leur chemin jusqu'à la surface du corps en témoignent eux aussi.
Périféérique
Il y a un plaisir certain à rester dans l'ombre projetée. Je me connais comme femme de peu de foi. Je me reconnais comme femme de peu de mots.
Le témoin est un messager, ange de surcroît, aveuglé par la lumière.
Je ne suis rien d'autre
Que ce qui s'offre à mon regard
Avant de toucher ma peau
Chaos cohérent
Miracle de la danse
L'intérieur
et/est
l'extérieur
lundi 12 avril 2010
Acte de danser
Là où ça se perd: quand il y a prolifération de mots pris dans la séduction de leur profération.
Je me perds, conséquence d'un manque d'ancrage dans tout cet encrage.
Où est le corps, comment s'investit-il dans la poésie?
Acte mental
et
Mouvement
et
Rythme
et
Souffle
Je me perds, conséquence d'un manque d'ancrage dans tout cet encrage.
Où est le corps, comment s'investit-il dans la poésie?

et
Mouvement
et
Rythme
et
Souffle
Photo: (c) Détrak Danse
Les martyrs ont une posture d'innocence impure.
À quel titre? Qu'hors de?

Sacrifiction
Scarification
Scarifiction
Scary Fiction - What war is
J'assiste à ce colloque par accident.
C'est à ce titre que je suis ici aujourd'hui, que je serai présente demain et dans les jours qui viennent.
Note personnelle:
Me pencher éventuellement sur le trop.
Une artiste peut chercher le moins.
Je n'ai pas assisté à un colloque depuis des décennies. Pour cette raison, l'imprégnation sera la posture choisie : l'osmose comme stratégie efficace d'accueil. Il y a trop de mots d'effets tueurs. Que disent-ils? Où est leur bouche? leur diaphragme? leur tube digestif?
Sacrophages - quelques notes éparses, malgré tout - culture momifiante/momifiée
Au sentiment de trop de tout à l'heure, s'opposerait le trou (Dévoratrix).
Je ne veux pas écrire, sinon minimalement. Je préfère animalement danser.
jeudi 8 avril 2010
Sur le fil
Tout est là
Tout a toujours été là
Dans le tremblement du centre,
Une ultime contraction
M'empêche de basculer
Tout a toujours été là
Dans le tremblement du centre,
Une ultime contraction
M'empêche de basculer
lundi 5 avril 2010
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